240条(甲13)
遺失物ノ拾得者ハ特別法ノ規定ニ依リテ其所有権ヲ取得スルコトヲ得
遺失物ノ拾得者ハ特別法ノ規定ニ依リテ其所有権ヲ取得スルコトヲ得
狩猟、捕漁ノ権利ノ行使及ヒ漂流物、遺失物ノ取得ハ特別法ヲ以テ之ヲ規定ス
戦時ニ於ケル海陸ノ掠奪物ニ付テモ亦同シ
L'exercice des droits de chasse et de pêche et l'acquisition des épaves tant terrestres que pluviales ou maritimes et des choses perdues sont réglés par des lois spéciales.
Il en est de même des prises maritimes et du butin faits en temps de guerre.
Les droits sur les effets jetés à la mer, sur les objets que la mer rejette, de quelque nature qu'ils puissent être, sur les plantes et herbages qui croissent sur les rivages de la mer, sont aussi réglés par des lois particulières.
Il en est de même des choses perdues dont le maître ne se représente pas.
性質及ヒ種類ノ如何ナルヲ問ハス海中ニ投ケ入レシ品物及ヒ海水ノ打上ケシ品物又ハ海岸ニ生スル草類ヲ所得トスルノ権ハ亦別段ノ法則ヲ以テ之ヲ規定ス
所有者ノ出テサル拾取物モ亦之ニ均シ
性質ノ如何ヲ問ハス海ニ投入レタル品物及ヒ海ヨリ打上ケタル物品ニ付テノ権利並ニ海岸ニ生スル草木ニ付テノ権利ハ亦特別ノ法律ヲ以テ之ヲ規定ス
所有主ノ出テ来ラサル遺失物ニ付テモ亦之ニ同シ
性質ノ如何ヲ問ハス海中ニ投擲セシ物件、海波ノ打揚セシ物件、海岸ニ生スル植物及ヒ草類ニ関スル権利モ亦別段ノ法律ヲ以テ之ヲ規定ス
主ノ出現セサル遺失物ニ付テモ同前ナリトス
Celui qui trouve une chose est tenu par conséquent de la restituer au précédent possesseur lorsque les marques distinctives de la chose ou d'autres circonstances le font clairement connaître. Si le précédent possesseur ne lui est pas connu, il doit, lorsque la valeur de la chose trouvée dépasse un florin, faire connaître sa trouvaille dans le délai de huit jours, suivant le mode usité dans chaque localité, et lorsque la valeur de la chose trouvée dépasse douze florins, il doit en donner avis à l'autorité locale.
L'autorité doit immédiatement publier cet avis, suivant le mode usité dans chaque localité, sans désigner les marques distinctives de la chose trouvée; et si le propriétaire ne s'est pas fait connaître dans un délai proportionné aux circonstances, et que la valeur de la chose dépasse vingt-cinq florins, elle le publiera de nouveau au moyen de trois insertions dans les feuilles publiques. Si la chose trouvée ne peut sans danger être laissée entre les mains de celui qui la trouvée, cette chose, ou le prix qui en aura été retiré aux enchères publiques, quand elle ne pourra être conservée sans dommage notable, sera déposé en justice ou confié à la garde d'un tiers.
Si le précédent détenteur ou propriétaire de la chose trouvée se fait connaître dans le délai d'un an, à partir delà dernière publication, et qu'il établisse son droit d'une manière convenable, la chose ou le prix qui en est provenu lui sera remis. Il est tenu cependant de rembourser les frais et de payer, si elle le demande, à la personne qui a trouvé la chose, dix pour cent de la valeur ordinaire à titre de récompense. Mais lorsque, d'après ce calcul, la récompense a atteint une somme de mille florins, elle ne sera calculée sur l'excédant qu'à raison de cinq pour cent.
Si la chose trouvée n'est réclamée par personne à juste titre dans le délai d'un an, celui qui l'a trouvée acquiert le droit de se servir de la chose ou du prix qui en est provenu. Si le précédent possesseur se fait connaître par la suite, la chose ou la valeur qui en est provenue, avec les intérêts quelle a pu produire, doit lui être remise sous la déduction des frais et de la récompense habituelle. Ce n'est qu'après le délai de la prescription que celui qui a trouvé la chose en acquiert la propriété comme le fait le possesseur de bonne foi.
Quiconque contreviendra aux dispositions contenues dans les articles 388 à 392 sera responsable de tous les dommages qui en résulteront. Si celui qui a trouvé la chose néglige de s'y conformer, il perdra tout droit à la récompense habituelle et se rendra en outre, suivant les circonstances, coupable de vol aux termes du Code pénal.
Lorsque plusieurs personnes ont trouvé une chose en même temps, elles ont à cet égard les mêmes droits et les mêmes obligations. On comprend parmi les co-inventeurs celui qui le premier a découvert la chose et a fait des efforts pour y parvenir, alors même qu'un autre s'en est emparé avant lui.
Celui qui trouve un objet mobilier, qui ne soit pas un trésor, est tenu de le restituer au précédent possesseur. S'il ne le connaît pas, il doit sans délai en faire la consignation au syndic du lieu où il l'a trouvé.
Le syndic fait connaître au public la consignation susdite, au moyen d'une publication faite selon les formes en usage, en deux dimanches successifs.
Si, dans les deux ans de la seconde publication, le maître ne se présente pas, la chose ou son prix, si les circonstances en auront exigé la vente, appartient à celui qui l'a trouvée.
Le maître de la chose perdue, ou celui qui l'a trouvée, quand il la reprend ou qu'il en reçoit le prix, est tenu de rembourser les frais qu'elle a occasionnés.
Le maître de la chose devra, si celui qui l'a trouvée l'exige, lui payer, à titre de récompense, le dixième de la somme ou de la valeur de la chose; mais, si cette somme ou cette valeur est au-dessus de deux mille livres, la récompense pour l'excédant ne sera que du vingtième.
Les droits sur les choses jetées à la mer, ou sur celles que la mer rejette, ou sur les plantes ou herbages qui croissent sur le rivage de la mer, sont réglés par des lois particulières.
動産物件ニシテ宝貨ノ品質ヲ有セサル所ノ者ヲ発見シタル人ハ其物件ノ原占有者ニ還付セサル可ラス若シ之ヲ発見シタル人カ其物件ノ原占有者ヲ知得スルコト能ハサルニ於テハ則チ直チニ其発見シタル土地ノ管轄庁ニ寄託ス
管轄庁ハ二次ノ日曜日ニ於テ通常法式ニ准依シ其公告ノ榜示ヲ改換スル必ス二回ナルコトヲ要ス
此第二回ノ公告ヲ為スヨリ以後ノ二年ヲ満過スルモ所有主ノ還付ヲ申請スル有ルコト無ケレハ則チ其物件若シ其物件ノ発売ヲ要シタル時会ニ当テハ其物件ノ価直ハ之ヲ発見シタル人ニ帰属セシム
此遺失物件ノ所有主及ヒ之ヲ発見シタル人ハ其物件若クハ其物件ノ価直ヲ領収スルニ当リ其物件ニ関スル一切ノ費用ヲ支弁セサル可ラス
遺失物件ノ所有主ハ若シ拾得シタル人カ賞物ヲ要求スルコト有レハ則チ其金額若クハ物件ノ常価十分ノ一ヲ付与セサル可ラス若シ其金額若クハ物件ノ常価カ二千リーヴルニ超過スルコト有レハ則チ超過額ニ関スル賞物ハ其二十分ノ一ヲ付与ス可キ者トス
海中ニ投擲セシ物件若クハ海波ニ随テ漂到セル物件若クハ海洲ニ自生スル草藻ニ関スル得有権ハ特別ノ法律ヲ以テ之ヲ規定ス
Les choses perdues dont le maître ne se représente pas, n'appartiendront à celui qui les a trouvées, qu'après qu'il aura satisfait aux formes qu'une loi particulière aura prescrites.
スイス(グラウビュンデン) 民法191~193条,195条 資料全体表示
(Des choses perdues.)
Les choses mobilières sorties de la garde de leur propriétaire (comme, par exemple, les animaux domestiques) ou celles égarées ne doivent pas cependant être regardées comme n'appartenant à personne.
Celui qui les trouve est obligé à les restituer à leur propriétaire. S'il ne peut le découvrir et si la valeur de la chose retrouvée excède deux francs, mais ne dépasse pas dix francs, il doit faire connaître la trouvaille par une publication dans la commune sur le territoire de laquelle elle a eu lieu, en indiquant l'objet et le lieu de cette trouvaille; si l'objet est d'une valeur de dix à cinquante francs, la publication se fait dans le Journal officiel. Si le propriétaire ne se présente pas dans les huit semaines, l'inventeur devient propriétaire.
(Si la chose a une plus grande valeur.)
Si la valeur de la chose trouvée dépasse cinquante francs, l'inventeur doit faire connaître la trouvaille au bureau du cercle où elle a eu lieu, lequel bureau, après avoir pris l'objet préalablement en dépôt, fait faire aussi une publication fixant un délai de trois mois pour se déclarer. Ce délai expiré sans réclamation, le bureau attribuera la chose à l'inventeur quand elle ne sera pas de valeur très considérable, dans le cas contraire fera connaître le cas au tribunal lequel avisera à prendre d'autres mesures et aura même le droit de laisser l'objet seulement en jouissance à l'inventeur, de manière à ce que celui-ci puisse en acquérir la propriété par usucapion.
Si l'on ne peut conserver l'objet sans le détériorer, le juge est autorisé à le faire vendre avant l'échéance du délai des réclamations. Le prix encaissé remplacera en tout cas l'objet trouvé.
(De la récompense de la trouvaille.)
S'il a observé les prescriptions ci-dessus, l'inventeur aura le droit de demander au propriétaire qu'on a retrouvé le remboursement des dépenses faites pour la chose et une récompense convenable à établir à raison de 10 0 / 0 de la valeur. Si, au contraire, il a transgressé quelqu'une de ces prescriptions, il perd le droit de demander la récompense, et vis-à-vis du propriétaire sera traité comme possesseur de mauvaise foi.
(Des bois jetés sur les rivages.)
Sous réserve des dispositions du règlement sur la flottaison, on doit considérer comme chose trouvée les bois ouvrés ou destinés à la flottaison mais emportés par le courant, pourvu qu'ils soient péchés ou jetés sur la rive. Les bois non ouvrés, au contraire, sont considérés alors comme n'appartenant à personne, de telle manière cependant que ceux jetés sur la rive passent au propriétaire du fonds sur lequel ils échouent, tandis que les bois retirés deviennent la propriété de celui qui les aura retirés, à supposer, bien entendu, que ce dernier n'aura pas transgressé les règlements de police fluviale et ne s'est pas servi illicitement de la rive d'autrui. Dans ce dernier cas, les bois retirés appartiennent au propriétaire du fonds.
Celui qui trouve un objet perdu est tenu de le restituer à son légitime possesseur antérieur.
Lorsque ce possesseur antérieur est inconnu, il doit être fait des tentatives pour le découvrir.
Celui qui a trouvé doit notamment, si la valeur de la chose ne dépasse pas cinquante francs, publier sa trouvaille dans la commune où il l'a faite et, si elle dépasse cinquante francs, la déclarer au tribunal afin qu'il soit procédé à une publication judiciaire.
Celui qui restitue un objet trouvé par lui a droit au remboursement de ses frais et, en outre, à une équitable récompense s'il n'a pas célé sa trouvaille et n'a pas tardé à la déclarer ou à la publier.
Une chose perdue n'est pas par cela même sans maître, et celui qui la trouve ne peut en prendre possession; il est au contraire obligé de, la restituer le plus tôt possible à celui qui l'a perdue.
Si l'inventeur ne connaît pas le propriétaire ou si celui-ci habite à une trop grande distance, il fera, après constatation immédiate par témoins, sa déclaration, au plus tard dans la semaine, à l'autorité la plus rapprochée et lui remettra l'objet. Cette autorité fera rechercher le propriétaire par les moyens ordinaires.
Quand la chose trouvée est une tête de petit bétail qui a été perdue ou s'est échappée, l'inventeur, après avoir fait constater sa trouvaille, la gardera avec lui, à moins que l'autorité, après en avoir été informée, n'en ordonne autrement.
Si la valeur de l'objet trouvé dépasse vingt francs, l'autorité inférieure en fera sans délai la déclaration au tribunal.
Le tribunal, après avoir ordonné les mesures les plus convenables pour la conservation de la chose, fera ses efforts pour retrouver le propriétaire. Si après un mois il est resté inconnu, le tribunal ordonnera l'insertion du fait dans les journaux du pays une fois, deux fois ou trois fois suivant les circonstances, et, s'il trouve qu'une plus grande publicité soit nécessaire, il veillera à ce qu'elle soit donnée de la façon la plus convenable.
S'il résulte des circonstances que le propriétaire ne sera pas promptement retrouvé et qu'il ne soit ni possible ni facile de garder la chose en nature, le tribunal procédera à la vente publique et conservera le prix qui en sera provenu.
Le propriétaire une fois retrouvé, la chose ou le prix provenu de la vente lui est remis. Hais avant cette remise, il doit rembourser au tribunal ou au gardien, quel qu'il soit, toutes les dépenses nécessaires faites pour la chose.
Quand il s'est écoulé deux années depuis la première annonce insérée dans les journaux sans que le propriétaire de la chose perdue se soit fait connaître, et que l'inventeur a scrupuleusement rempli toutes les prescriptions de la loi et tout ce qu'exige la probité, la chose, ou le prix provenant de la vente, est remise en la possession et jouissance de l'inventeur. Toutefois celui-ci doit, s'il accepte cette remise, payer toutes les dépenses qui ont pu être faites jusqu'à ce jour à l'occasion de cette chose.
Si, après cinq ans à partir du jour de la remise à l'inventeur, le propriétaire ne s'est pas fait connaître, la chose devient sans maître et l'inventeur seul a le droit de se l'approprier par occupation.
Si avant l'expiration du délai fixé au deuxième paragraphe de l'article précédent le propriétaire se fait connaître, la restitution aura lieu dans les mêmes conditions que toute restitution faite par un possesseur de bonne foi.
En vue de.l'éventualité de cette restitution, l'inventeur, au moment où la chose lui est remise, fournira, si le tribunal le juge nécessaire, une garantie convenable.
Si la valeur de l'objet trouvé ne dépasse pas vingt francs, l'autorité locale ordonnera les mesures nécessaires à sa conservation et, si cette conservation est impossible ou difficile, elle le fera vendre publiquement et conservera le prix provenant de la venté. Elle donnera en même tempe avis de cette trouvaille au tribunal et la fera connaître dans la localité et dans les environs.
Quand trois ans se sont écoulés à partir du jour où avis de la découverte a été donné à l'autorité locale, sans que le propriétaire se soit fait connaître, la chose ou son prix devient sans maître et, comme telle, est remise à l'inventeur, pour que celui-ci, après payement des frais laits à l'occasion de la chose, en devienne propriétaire par occupation.
L'inventeur qui ne s'est pas conformé à toutes les règles posées ci-dessus, ou qui pour tout autre motif ne s'est pas conduit honorablement en cette circonstance, non seulement perd tous les droits conférés par les trois articles précédents (87-89), mais doit réparer tout le dommage qu'il a pu causer et subir la peine applicable au fait qu'il a commis.
En ce cas, la chose ou son prix, à l'expiration du délai fixé, sera attribuée à la caisse de l'église. Il en sera de même si l'inventeur renonce à son droit d'occupation ou si le propriétaire renonce à son droit de propriété.
Celui qui trouve un meuble, qui n'est pas un trésor, doit le rendre à son ancien possesseur. S'il n'est pas connu, il devra le mettre à la disposition de l'alcade de la commune où la trouvaille a eu lieu.
L'alcade la fera publier deux dimanches consécutifs en la forme ordinaire.
Si le meuble ne peut se conserver sans détérioration, ou sans exiger des dépenses qui en diminuent notablement la valeur, on le vendra aux enchères publiques aussitôt que huit jours se seront écoulés après la seconde publication, sans que le propriétaire se soit présenté, et le prix sera déposé.
Deux ans passés, depuis le jour de la seconde publication, sans que le propriétaire se soit présenté, on attribuera la chose trouvée, ou son prix, à celui qui l'avait trouvée.
Ce dernier, de même que le propriétaire, sera tenu, chacun dans son cas, de payer les frais.
Si le propriétaire se présente à temps, il sera tenu de donner à titre de récompense, à celui qui a fait la découverte, la dixième partie de la valeur ou du prix de la chose trouvée. Si la valeur de la trouvaille excède 2000 pesetas, la récompense se réduira au vingtième pour le surplus.
Les droits sur les objets jetés à la mer, ou sur ceux que les flots rejettent sur le rivage, quelle que soit leur nature, et les droits sur les plantes et herbes qui croissent dans les rivières, sont fixés par les lois spéciales.
Celui qui trouve un effet mobilier doit le restituer au précédent possesseur; s'il ne le connaît pas, il est tenu de consigner la chose sans retard au commissariat de police du lieu où il l'a trouvée.
L'autorité communale fera, pendant deux dimanches consécutifs, des publications, oralement et par la voie des journaux.
S'il n'y a pas de réclamation dans les trois ans qui suivent la seconde publication, la chose trouvée deviendra la propriété de l'inventeur.
Si le maître de la chose se présente, elle lui sera remise, moyennant le remboursement des frais de publication.
Les droits sur les effets jetés à la mer, sur les objets que la mer rejette, de quelque nature qu'ils puissent être, sur les plantes et herbages qui croissent sur les rivages de la mer, sont réglés par des lois particulières.
ドイツ(帝国法) 民法第1草案910~927条 資料全体表示
Wer eine verlorene oder sonst abhanden gekommene Sache findet und in seine Inhabung nimmt, hat hiervon unverzüglich den Verlierer oder den Eigenthümer zu benachrichtigen.
Wenn der Verlierer und der Eigenthümer oder ihr Aufenthalt dem Finder nicht bekannt sind, so hat dieser unverzüglich der Polizeibehörde den Fund sowie alle ihm bekannten, zur Ermittelung des Verlierers und des Eigenthümers dienlichen Umstände anzu zeigen.
Der Polizeibehörde des Fundortes liegt ob, den Fund in einer den Umständen des Falles und dem Werthe der Sache ent sprechenden Weise öffentlich bekannt zu machen.
Der Finder hat für die Erhaltung und Verwahrung der Sache zu sorgen.
Ist der Verderb der Sache zu besorgen oder deren Auf bewahrung mit unverhältnißmäßigen Kosten verbunden, so hat der Finder die Sache nach vorgängiger Anzeige bei der Polizeibehörde durch einen zuständigen Gerichtsvollzieher oder zu Versteigerungen befugten sonstigen Beamten oder öffentlich angestellten Auktionator (§.36 der Gewerbeordnung) öffentlich versteigern zu lassen.
Der Finder ist auf Anordnung der Polizeibehörde verpflichtet und auch ohne solche Anordnung berechtigt, die Sache oder im Falle des Verkaufes derselben den Erlös an die Polizeibehörde abzuliefern.
Durch die Ablieferung an die Polizeibehörde wird der Finder von seinen Verpflichtungen für die Zukunft befreit.
Wird die Sache im Falle des §.911 Abs. 2 oder auf An ordnung der Polizeibehörde versteigert, so tritt der Erlös in Ansehung der auf die versteigerte Sache sich beziehenden Rechtsverhältnisse an die Stelle der Sache.
Der Finder kann gegen Herausgabe der Sache an den Empfangsberechtigten verlangen:
den Ersatz der zum Zwecke der Erhaltung und DerWahrung der Sache, sowie zum Zwecke der Ermittelung des Verlierers und des Eigenthümers gemachten Aufwendungen, soweit er solche bei Anwendung der Sorgfalt eines ordentlichen Hausvaters für erforderlich anzusehen hatte;
die Zahlung eines Fundlohnes.
Der Fundlohn beträgt von dem Werthe der Sache bis zu dreihundert Mark fünf vom Hundert, von dem Mehrwerthe eins vom Hundert. Bei der Berechnung des Fundlohnes kommen von dem Werthbetrage die von dem Empfangsberechtigten zu ersetzenden Aufwendungen in Abzug. Hat die Sache nur für den Verlierer oder den Eigenthümer einen Werth, so bestimmt das Gericht den Fund lohn nach freiem Ermessen.
Der Anspruch auf Zahlung eines Fundlohnes ist ausgeschlossen, wenn der Finder die im §.910 bezeichnete Anzeigepflicht verletzt hat.
Dem Finder steht wegen derim 8914 bezeichneten Ansprüche nur das Recht zu, die Sache bis zu seiner Befriedigung zurückzubehalten. Hat er jedoch bei Herausgabe der Sache dem Empfänger erklärt, daß er sich die Ansprüche Vorbehalte, so hastet ihm der Empfänger wegen derselben persönlich. Zur Wirksamkeit des Vorbehaltes ist die Bezeichnung des Umfanges der Ansprüche nicht erforderlich.
Die im 8914 bezeichneten Ansprüche des Finders werden durch die Ablieferung der Sache an die Polizeibehörde nicht berührt. Die Polizeibehörde darf die Sache nur mit Zustimmung des Finders einem Empfangsberechtigten ausliefern.
In Ansehung des Ersatzes der von der Polizeibehörde zum Zwecke der Erhaltung und Verwahrung der Sache sowie zum Zwecke der Ermittelung des Verlierers und des Eigenthümers gemachten Aufwendungen finden die Vorschriften der §.914, 915 entsprechende Anwendung.
Wird bei der Polizeibehörde ein Anspruch auf Herausgabe der Sache nicht angemeldet, so hat die Polizeibehörde hierüber nach Ablauf eines Jahres seit der Anzeige des Fundes dein Finder auf dessen Antrag ein schriftliches Zeugniß zu ertheilen.
Aus besonderen Gründen kann die Polizeibehörde die Ertheilung des Zeugnisses bis zum Ablaufe von drei Jahren seit der Anzeige des Fundes aussetzen.
Mit der Aushändigung des Zeugnisses an den Finder erwirbt derselbe das Eigenthum an der Sache zugleich erlöschen alle sonstigen an der Sache bisher begründeten Rechte.
Ist bei der Polizeibehörde ein Anspruch auf Herausgabe der Sache angemeldet, so hat die Polizeibehörde nach Ablauf der im §.918 Abs. 1, 2 bezeichnten Fristen dem Finder auf dessen An trag das Zeugniß dahin zu ertheilen, daß andere Ansprüche als der angemeldete nicht angemeldet sind. Die im §.918 Abs. 3 bezeichnten Wirkungen der Aushändigung des Zeugnisses an den Finder treten in diesem Falle unter Vorbehalt des angemeldeten Anspruches ein.
Wird von dem Empfangsberechtigten die Abnahme der Sache gegen Befriedigung des Finders wegen der Ansprüche desselben noch nach Aushändigung des Zeugnisses der Polizeibehörde an den Finder verweigert, so erlöschen die dem Ersteren zustehenden Rechte.
Die Aushändigung des Zeugnisses der Polizeibehörde hat die im §.918 Abs. 3 und im §.919 Abs. 1 bezeichnten Wirkungen nicht, wenn der Finder die im §910 bezeichnte Anzeigepflicht verletzt hat sie läßt auch die Rechte unberührt, welche dem Finder bekannt waren.
Uebersteigt der Werth der Sache nicht den Betrag von drei Mark, so erwirbt der Finder das Eigenthum an derselben mit Ablauf eines Jahres von der Zeit des Fundes an, ohne daß eine Anzeige bei der Polizeibehörde und eine öffentliche Bekanntmachung erforderlich ist.
Hat der Finder innerhalb der einjährigen Frist auf Nachfrage den Fund verheimlicht, so tritt der Eigenthumserwerb nicht ein, auch hat der Finder auf Fundlohn keinen Anspruch.
Der Finder, welcher in Gemäßheit der §§.918 bis 921 das Eigenthum an der Sache erworben hat, ist zur Herausgabe der dadurch erlangten Bereicherung nach Maßgabe des §.748 Abs. 3 verpflichtet. Der Anspruch auf Herausgabe der Bereicherung steht demjenigen nicht zu, dessen Rechte nach dem §.919 Abs. 2 erlöschen sind.
Der Anspruch auf Herausgabe der Bereicherung erlischt, wenn er nicht binnen drei Jahren seit dem Erwerbe des Eigenthumes an der Sache rechtshängig geworden ist.
Das Recht des Finders auf den Erwerb des Eigenthumes an der gefundenen Sache geht auf die Gemeinde des Fundortes über, wenn der Finder gegenüber der Polizeibehörde den Verzicht auf den Erwerb des Eigenthumes erklärt oder binnen einer von der Polizeibehörde zu bestimmenden Frist die Ertheilung des im §.918 Abs. 1 und im §.919 Abs. 1 bezeichneten Zeugnisses nicht beantragt.
Die Vorschriften des §.922 finden entsprechende Anwendung.
Auf eine Sache, welche in den Geschäftsräumen oder in den Transportmitteln einer öffentlichen Behörde oder einer öffentlichen Verkehrsanstalt gefunden wird, finden die Vorschriften der §.910 bis 923 keine Anwendung.
Eine solche Sache ist von demjenigen, welcher sie an sich nimmt, unverzüglich an die Behörde oder die Derkehrsanstalt oder an einen Beamten derselben abzuliefern.
Die Behörde oder die Verkehrsanstalt kann die in Gemäßheit des §.924 abgelieferte Sache, nachdem der Fund öffentlich bekannt gemacht und die in der Bekanntmachung den Empfangsberechtigten zur Anmeldung der Rechte bestimmte Frist verstrichen ist, ohne daß eine Anmeldung erfolgt ist, öffentlich versteigern lassen. Ist der Verderb der Sache zu besorgen oder deren Aufbewahrung mit unverhältnißmäßigen Kosten verbunden, so ist die Versteigerung noch vor der öffentlichen Bekanntmachung zulässig.
Die Art der Bekanntmachung bestimmt sich, wenn die Behörde oder die Anstalt dem Reiche angehört, nach den von dem Bundesrathe, in anderen Fällen nach den von der Zentralbehörde des Bundesstaates, welchem die Behörde oder die Anstalt angehört, erlassenen Vorschriften.
Der Erlös aus der Versteigerung der in Gemäßheit des §.924 abgelieferten Sache fällt, wenn die Behörde oder Anstalt dem Reiche angehört, an den Reichsfiskus, wenn sie eine Landesbehörde oder Landesverkehrsanstalt ist, an den Fiskus des Bundesstaates, wenn sie eine Gemeindebehörde oder Gemeindeanstalt ist, an die Gemeinde, wenn die Derkehrsanstalt von einer Privatperson betrieben wird, an die letztere.
Der Erlös ist dem Empfangsberechtigten nach Abzug der Kosten auszuzahlen, wenn derselbe binnen drei Jahren seit dem Ablaufe der in der Bekanntmachung bestimmten Anmeldungsfrist sich meldet.
Die Vorschriften der §§.925, 926 finden auf Sachen, welche in die Inhabung einer öffentlichen Behörde gelangt sind, und in Ansehung deren der Empfangsberechtigte oder dessen Aufenthalt nicht bekannt ist, entsprechende Anwendung, soweit nicht vertragsmäßige Verbindlichkeiten entgegenstehen.
遺失物又ハ其他所有者ノ手ヲ離レタル物ヲ発見シ之ヲ所持スル者ハ遅滞ナク遺失者又ハ所有者ニ此旨ヲ通知スルコトヲ要ス
発見者ハ遺失者、所有者又ハ此等ノ者ノ居所ヲ知ラサルトキハ遅滞ナク発見セシコト並ニ遺失者又ハ所有者ヲ求ムルコトニ付キ自己ノ知得セル総テノ事情ヲ警察署ニ届出ツルコトヲ要ス
発見地ノ警察署ハ其時ノ事情及ヒ発見物ノ価格ニ相当スル方法ニ依リテ発見ヲ公告スヘシ
発見者ハ発見物ノ保管ニ注意スルコトヲ要ス
物カ腐敗スル虞アルトキ又ハ其保管カ過分ノ費用ヲ要スルトキハ発見者ハ発見ヲ警察署ニ届出タル後管轄裁判所ノ執達吏又ハ公売権ヲ有スル其他ノ官吏若クハ公任競売者(営業条例第三十六条)ニ依リテ発見物ヲ公売セシムルコトヲ要ス
発見者ハ警察署ノ命令ニ依リ発見物ヲ差出シ又ハ之ヲ売却シタル場合ニ於テハ其代価ヲ差出スコトヲ要ス又警察署ノ命令ナキモ発見者ハ差出ノ権利ヲ有ス
発見者カ発見物又ハ其代価ヲ警察署ニ差出シタルトキハ爾後自己ノ義務ヲ免ル
発見物カ第九百十一条第二項ノ場合ニ於テ又ハ警察署ノ命令ニ依リテ公売セラルルトキハ此物ニ関スル法律関係ハ其代価ニ移ルモノトス
発見者カ発見物ノ引渡ニ付キ之受取ルヘキ権利者ニ対シ左ノ請求ヲ為スコトヲ得
一、 物ノ保管ノ為メ又ハ遺失者若クハ所有者ヲ求ムル為メニ要シタル費用ノ賠償但整正タル家父ノ注意ニ依リテ必要ト認ムヘキ費用ヲ以テ其限度トス
二、 発見ノ報酬
発見ノ報酬ハ発見物ノ価格カ三百マルク以下ノトキハ其百分ノ五トシ三百マルク以上ノトキハ其百分ノ一トス報酬計算ノ場合ニ於テ発見物ヲ受取ルヘキ権利者カ賠償スヘキ費用ハ発見物ノ価格ヨリ扣除ス又其物カ遺失者又ハ所有者ニ対シテノミ価格ヲ有スルトキハ裁判所ハ随意ノ計算ニ依リテ発見ノ報酬ヲ定ム
発見者カ第九百十条ニ掲ケタル届出ノ義務ヲ怠リタルトキハ報酬請求ノ権ヲ失フ
発見者ハ第九百十五条ニ掲ケタル請求権ニ本ツキ其弁済ニ至ル迄発見物ヲ留置スル権ヲ有ス発見者カ発見物ノ引渡ニ当リ受取者ニ対シ右請求権ヲ留保スル旨ヲ表示スルトキハ之ニ因リテ受取人ハ対人ノ義務ヲ負フ此場合ニ於テ請求権ノ留保ニ付キ其範囲ヲ指定スルコトヲ要セス
第九百十四条ニ掲ケタル発見者ノ権利ハ発見物ヲ警察署ニ差出スコトニ因リテ影響ヲ受クルコトナシ警察署ハ発見者ノ同意アリタルトキニノミ発見物ヲ受取ルヘキ権利者ニ之ヲ引渡スコトヲ得
発見物ノ保管ノ為メ又ハ遺失者若クハ所有者捜索ノ為メニ要シタル費用ノ賠償ニ付テハ第九百十四条及ヒ第九百十五条ノ規定ヲ准用ス
発見物引渡ノ請求ヲ警察署ニ願出ザル場合ニ於テハ之ニ付テ警察署ハ発見届出後一年ヲ経過シタルトキハ発見者ノ申請ニ依リ証明書ヲ下附スルコトヲ要ス
警察署ハ特別ノ原因アルトキハ発見届出ノ後三年ヲ経過スル迄証明書ノ下附ヲ延ハスコトヲ得
警察署ノ証明書ノ下附ニ依リテ発見者ハ発見物ノ所有権ヲ取得シ又此物ニ関シテ既ニ成立セル総テノ権利ハ消滅ス
発見物引渡ノ願出アルトキハ警察署ハ第九百十八条第一項及ヒ第二項ニ掲ケタル期間ノ経過後ニ於テ発見者ノ申請ニ依リ右願出ノ請求外ニ他ノ請求ノ願出ナキ旨ノ証明書ヲ下附スルコトヲ要ス此場合ニ於テハ願出タル請求権ヲ留保シテ第九百十五条第二項ニ掲ケタル証明書下附ノ効力ヲ生ス
発見物ヲ受取ルヘキ権利者カ発見者ニ警察署ノ証明書カ下附セラレタル後ニ於テ此者ノ有スル請求ヲ弁済スル代ハリニ発見物ノ引取ヲ拒ムトキハ自己ニ属スル権利ハ消滅ス
発見者カ第九百十条ニ掲ケタル届出ノ義務ヲ怠リタルトキハ警察署ノ証明書下附ハ第九百十八条第三項及ヒ第九百十九条第一項ニ掲ケタル効力ヲ生セス又発見者カ既ニ知リタル権利ハ証明書ノ下附ニ依リテ影響ヲ受クルコトナシ
発見物ノ価格カ三マルクヲ越ヘサルトキハ発見者ハ警察署ニ届出ツルコトナク且公告ヲ要セスシテ発見ノ時ヨリ一年ノ経過ニ因リテ其物ノ所有権ヲ取得ス
発見者ハ一年ノ期間内ニ於テ発見物ノ捜索ニ対シ之ヲ隠秘シタルトキハ其物ノ所有権ヲ取得スルコトヲ得ス又報酬請求ノ権ヲ有セス
第九百十八条乃至第九百二十一条ノ規定ニ依リテ発見物ノ所有権ヲ取得シタル発見者ハ之ニ因リテ得タル利得ヲ第七百四十八条ノ規定ニ従ヒ引渡スヘキ義務ヲ負フ利得引渡ノ請求権ハ第九百十九条第二項ノ規定ニ依リテ自己ノ権利カ消滅シタル者ニ属ス
利得引渡ノ請求権ハ発見物ノ所有権ヲ取得シタル後三年内ニ権利拘束ノ生セサルトキハ消滅ス
発見者カ発見物ノ所有権ヲ取得スル権ヲ放棄スル旨ヲ警察署ニ表示シ又ハ警察署カ指定セル期間内ニ第九百十八条第一項及ヒ第九百十九条第一項ニ掲ケタル証明書ノ下附ヲ申請セサルトキハ所有権取得ノ権利ハ発見地ノ団体ニ移転ス
第九百二十二条ノ規定ハ本条ノ場合ニ之ヲ適用ス
営業場ニ於テ又ハ官庁若クハ公設交通局ノ運送具ニ於テ発見シタル物ニ関シテハ第九百十条乃至第九百十三条ノ規定ヲ適用セス
前項ノ発見物ハ拾得者ヨリ遅滞ナク官庁又ハ公設交通局若クハ其役員ニ之ヲ差出スコトヲ要ス
官庁又ハ交通局ハ発見ヲ公告シ旦其公告ニ於テ発見物ヲ受取ルヘキ権利者ニ対シ自己ノ権利ヲ届出ツル為メニ指定シタル期間カ経過シタルトキハ第九百二十四条ノ規定ニ依リテ差出サレタル物ヲ公売セシムルコトヲ得発見物カ腐敗スル虞アルトキ又ハ其保存カ過分ノ費用ヲ要スルトキハ公告前ト雖モ公売セシムルコトヲ得
公告ノ方法ハ官庁若クハ交通局カ帝国ニ属スルトキハ聯邦議会ヨリ発布スル規定ニ従ヒ其他ノ場合ニ於テハ官庁若クハ交通局所属ノ聯邦政府ヨリ発布スル規定ニ従フ
第九百二十四条ノ規定ニ従ヒ差出サレタル物ノ公売代価ハ官庁若クハ公通局カ独逸帝国ノ官庁若クハ交通局ナルトキハ国庫ニ帰属シ聯邦ノ官庁若クハ交通局ナルトキハ聯邦ノ国庫ニ帰属シ団体ノ官庁若クハ交通局ナルトキハ団体ニ帰属シ又交通所カ私人ノ営業ニ係ルトキハ此者ニ帰属ス
発見物公売ノ代価ハ之ヲ受取ルヘキ権利者カ公告ニ於テ指定シタル届出期間ノ経過後三年内ニ届出タルトキハ費用ヲ控除シテ之ヲ支払フコトヲ要ス
第九百二十五条及ビ第九百二十六条ノ規定ハ官庁ノ所持ニ帰シタル物ニ関シ又ハ之ヲ受取ルヘキ権利者若クハ其居所カ知レサル物ニ関シ契約上ノ義務カ存立セサル限リハ之ヲ准用ス
- Celui qui trouve un objet perdu ou devenu sans possesseur de toute autre manière et qui en prend posses- sion doit en avertir immédiatement le propriétaire ou celui qui a perdu cet objet.
Lorsque ces derniers, ainsi que leur demeure, ne sont pas connus de l'inventeur, celui-ci doit donner immédiatement avis a la police de sa trouvaille et de toutes les circonstances de lui connues et qui peuvent servir à faire retrouver celui qui a perdu l'objet.
Les fonctionnaires de la police du lieu de la trouvaille doivent la faire connaître par publications d'une manière convenable suivant les circonstances et la valeur de l'objet.
- Celui qui a trouvé l'objet doit le conserver et en prendre soin. .
Lorsque la détérioration de la chose est à craindre ou que sa conservation exige de trop grands frais, le détenteur doit, après déclaration préalable au bureau de police, faire vendre l'objet aux enchères par le ministère d'un huissier compétent ou d'un autre fonctionnaire ayant droit de faire des ventes publiques, ou par un commissairepriseur (S 36 de l'ordonnance sur le commerce et l'industrie).
- Le détenteur est tenu, sur l'ordre des officiers de police, et a le droit, même sans cet ordre, de déposer au bureau de police l'objet, ou en cas de vente, le prix de cet objet.
Par ce dépôt le détenteur est libéré de toutes ses obligations pour l'avenir. '
- Si la chose est vendue aux enchères, dans le cas du §911, alinéa 2, ou sur ordre de la police, le prix est subrogé a la chose en ce qui concerne les relations de droit relatives a la chose vendue.
- Celui qui a trouvé l'objet peut, en le remettant à celui qui a le droit de le recevoir, exiger:
1° Le remboursement des dépenses faites pour la conservation et la garde de la chose et pour la recherche de son propriétaire ou de celui qui l'avait perdue, lorsqu'il a donné les soins d'un bon père de famille.
2° Le paiement d'une récompense pour sa trouvaille.
Ce salaire se monte a cinq pour cent de la valeur de la chose jusqu'à concurrence de trois cents marks et a un pour cent au delà Pour le calculer, il faut déduire de la valeur de l'objet le montant des dépenses à rembourser au détenteur.
Lorsque la chose n'a de valeur que pour son propriétaire, ou pour celui qui l'avait perdue, c'est le tribunal qui dans sa libre appréciation fixe le montant du salaire.
Le droit a une récompense cesse d'exister lorsque le détenteur n'a pas fait la déclaration exigée par le §910.
- Pour s'assurer les droits qui lui sont conférés par le §914, le détenteur ne peut que retenir la chose jusqu'à paiement. Si cependant en remettant l'objet il a déclaré qu'il réservait ses droits, il a une action personnelle contre celui qui l'a reçu. Pour que cette réserve soit valable, il n'est pas besoin d'indiquer le montant de l'indemnité réclamée.
- Les droits du détenteur résultant du §914 ne sont pas diminués par la remise de la chose au bureau de police. Les officiers de police ne doivent rendre celle-ci a l'ayant droit, qu'avec le consentement de celui qui l'avait trouvée.
- Les dispositions des §914 et 915 s'appliquent au remboursement des dépenses faites par la police pour la garde et la conservation de la chose et pour la recherche de son propriétaire.
- S'il n'est produit au bureau de police aucun droit à la remise de l'objet, les officiers de police doivent, à l'expiration d'une année depuis la déclaration de la trouvaille, en délivrer un certificat écrit a celui qui l'a faite, et ce sur sa demande.
Pour des motifs spéciaux, la police peut retarder la délivrance de ce certificat pendant un délai de trois ans a partir de la déclaration de la trouvaille.
Par la délivrance de ce certificat, celui qui avait trouvé l'objet en devient propriétaire ; en même temps prennent fin tous les autres droits portant sur cette chose.
- Lorsqu'une demande en restitution de l'objet est faite a la police, celle-ci, après l'expiration des délais fixés au §918, alinéas 1 et 2, doit délivrer a celui qui l'avait trouvée, sur sa demande, un certificat constatant qu'il ne s'est pas produit d'autre demande que celle-là Dans ce cas, les effets, indiqués parle §918, alinéa 3, de la délivrance du certificat a l'inventeur se produisent sous réserve du droit réclamé.
Si l'ayant-droit refuse de recevoir l'objet contre paiement a l'inventeur de ces droits, même après la délivrance du certificat de la police, il est déchu du droit qui lui appartenait.
- La délivrance du certificat de police perd ses effets mentionnés dans le §918, alinéa 3 et dans le §919, alinéa 1, lorsque l'inventeur n'a pas rempli l'obligation de la déclaration qui lui a été imposée par le §910 , dans ce cas elle ne touche pas aux droits qui étaient reconnus à l'inventeur.
- Si la valeur de l'objet ne dépasse pas trois marks, l'inventeur en devient propriétaire un an après la trou- vaille, sans qu'il soit besoin de déclaration a la police, ni de publication.
Si l'inventeur a pendant un an a partir d'interpellation caché la trouvaille, il ne peut acquérir ni la propriété ni le droit a récompense.
- L'inventeur qui, conformément aux §§918 à 921, a acquis la propriété de la chose est obligé à la restitution de l'enrichissement qui en est résulté pour lui, conformément au §748, alinéa 3. Le droit à la restitution de ce profit n'appartient pas a celui qui a perdu ses droits en vertu du §919, deuxième alinéa.
Le droit a la restitution de ce dont on s'est enrichi s'éteint , lorsqu'il n'a pas été l'objet d'une demande en justice dans les trois ans à partir de l'acquisition de la propriété.
- Le droit de l'inventeur et l'acquisition de la propriété de la chose trouvée passe à la commune du lieu de la trouvaille, lorsque l'inventeur a déclaré au bureau de police qu'il renonçait à acquérir la propriété de l'objet, ou lorsque, dans un délai à déterminer par les officiers de police, il n'a pas demandé la délivrance du certificat prévu par le §918, premier alinéa, et le §919, premier alinéa.
Il y a lieu d'appliquer les dispositions du §922.
- Il n'y a pas lieu d'appliquer les dispositions des §§910 à 923 aux objets qui sont trouvés dans les messageries ou dans les bureaux d'une administration publique ou dans une institution publique de commerce.
Ces objets doivent être immédiatement remis par celui qui s'en empare aux fonctionnaires ou à l'établissement ou a l'un de ses employés.
- Le fonctionnaire ou l'établissement de commerce ont le droit de faire vendre l'objet qui leur a été remis en exécution du §924, lorsque la trouvaille a été publiée et que le délai fixé dans la publication a l'ayant-droit pour pro- duire sa réclamation est expiré sans qu'aucune production ait été faite. Si la détérioration de l'objet est à craindre, ou si sa conservation exige des dépenses extraordinaires, on peut le faire vendre aux enchères, même avant la publication. Le mode de publication se détermine, lorsque les fonctionnaires ou l'établissement appartiennent à l'Empire, d'après les prescriptions édictées par le Conseil fédéral; dans les autres cas, d'après celles édictées par le gouvernement central de l'Etat confédéré auquel les fonctionnaires ou l'établissement (anstalt) ressortissent.
- Le prix d'adjudication de la chose remise conformément au §924 revient, lorsque les fonctionnaires ou l'établissement dépendent de l'Empire, au fisc impérial; lorsqu'ils dépendent d'un État confédéré, au fisc de cet État, lorsqu'ils dépendent d'une commune, a cette commune, lorsqu'enfin l'institution de . commerce est gérée par un particulier, à celui-ci.
Le prix doit être payé à l'ayant-droit sous déduction des frais, lorsque ce dernier a produit sa demande dans les trois ans depuis l'expiration du délai de production indiqué dans la publication.
- Les dispositions des §925 et 926 s'appliquent aux choses qui sont parvenues en la détention d'un fonctionnaire public, et dont le propriétaire ou sa demeure sont inconnus, et moins d'obligations contraires résultant de conventions.
ドイツ(帝国法) 民法第2草案880~897条 資料全体表示
Wer eine verlorene Sache findet und an sich nimmt, hat dem Verlierer oder dem Eigenthümer oder einem sonstigen Empfangsberechtigten unverzüglich Anzeige zu machen.
Kennt der Finder die Empfangsberechtigten nicht oder ist ihm ihr Aufenthalt unbekannt, so hat er den Fund und die Umstände, welche für die Ermittelung der Empfangsberechtigten erheblich sein können, unverzüglich der Polizeibehörde anzuzeigen. Ist die Sache nicht mehr als drei Mark werth, so bedarf es der Anzeige bei der Polizeibehörde nicht.
Der Finder ist zur Verwahrung der Sache verpflichtet.
Ist der Verderb der Sache zu besorgen oder ist die Aufbewahrung mit unverhältnismäßigen Kosten verbunden, so hat der Finder die Sache öffentlich versteigern zu lassen. Vor der Versteigerung ist der Polizeibehörde Anzeige zu machen. Der Erlös tritt an die Stelle der Sache.
Der Finder ist berechtigt und auf Anordnung der Polizeibehörde verpflichtet, die Sache oder den Versteigerungserlös an die Polizeibehörde abzuliefern.
Der Finder hat nur Vorsatz und grobe Fahrlässigkeit zu vertreten.
Der Finder wird durch die Herausgabe der Sache an den Verlierer auch den sonstigen Empfangsberechtigten gegenüber befreit.
Macht der Finder zum Zwecke der Verwahrung oder Erhaltung der Sache oder zum Zwecke der Ermittelung eines Empfangsberechtigten Aufwendungen, die er nach den Umständen für erforderlich halten darf, so kann er von dem Empfangsberechtigten Ersatz verlangen.
Der Finder kann von dem Empfangsberechtigten einen Finderlohn verlangen. Der Finderlohn beträgt von dem Werthe der Sache bis zu dreihundert Mark fünf vom Hundert, von dem Mehrwerth eins vom Hundert, bei Thieren eins vom Hundert. Hat die Sache nur für den Empfangsberechtigten einen Werth, so ist der Finderlohn nach billigem Ermessen zu bestimmen.
Der Anspruch ist ausgeschlossen, wenn der Finder die Anzeigepflicht verletzt oder den Fund auf Nachfrage verheimlicht hat.
Auf die in den §§.885, 886 bestimmten Ansprüche finden die für die Ansprüche des Besitzers gegen den Eigenthümer wegen Verwendungen geltenden Vorschriften des §.913 entsprechende Anwendung.
Mit dem Ablauf eines Jahres nach der Anzeige des Fundes bei der Polizeibehörde erwirbt der Finder das Eigenthum an der Sache, es sei denn, daß vorher ein Empfangsberechtigter dem Finder bekannt geworden ist oder sein Recht bei der Polizeibehörde angemeldet hat. Mit dem Erwerbe des Eigenthums erlöschen die sonstigen Rechte an der Sache.
Ist die Sache nicht mehr als drei Mark werth, so beginnt die einjährige Frist mit dem Funde. Der Finder erwirbt das Eigenthum nicht, wenn er den Fund auf Nachfrage verheimlicht hat. Die Anmeldung eines Rechtes bei der Polizeibehörde steht dem Erwerbe des Eigenthums nicht entgegen.
Sind innerhalb der einjährigen Frist Empfangsberechtigte dem Finder bekannt geworden oder haben sie bei einer Sache, die mehr als drei Mark werth ist, ihre Rechte bei der Polizeibehörde rechtzeitig angemeldet, so erwirbt der Finder das Eigenthum und erlöschen die sonstigen Rechte an der Sache dann, wenn die Empfangsberechtigten sich auf die Aufforderung des Finders nicht zur Befriedigung der dem Finder nach den §§.885 bis 887 zustehenden Ansprüche bereit erklären. Die Aufforderung hat nach den Vorschriften des §.914 Abs.1, 3 zu erfolgen.
Durch die Ablieferung der Sache oder des Versteigerungserlöses an die Polizeibehörde werden die Rechte des Finders nicht berührt. Läßt die Polizeibehörde die Sache versteigern, so tritt der Erlös an die Stelle der Sache. Die Polizeibehörde darf die Sache oder den Erlös nur mit Zustimmung des Finders einem Empfangsberechtigten herausgeben.
Verzichtet der Finder der Polizeibehörde gegenüber auf das Recht zum Erwerbe des Eigenthums an der Sache, so geht sein Recht auf die Gemeinde des Fundorts über.
Hat der Finder nach der Ablieferung der Sache oder des Versteigerungserlöses an die Polizeibehörde auf Grund der Vorschriften der §§.888, 889 das Eigenthum erworben, so geht dasselbe auf die Gemeinde des Fundorts über, wenn der Finder nicht innerhalb einer ihm von der Polizeibehörde bestimmten Frist die Herausgabe verlangt.
Wer in Folge der Vorschriften der §§.888, 889, 891 einen Rechtsverlust erleidet, kann in den Fällen der §§.888, 889 von dem Finder, in den Fällen des §.891 von der Gemeinde des Fundorts die Herausgabe des durch die Rechtsänderung Erlangten nach den Vorschriften über die Herausgabe einer ungerechtfertigten Bereicherung fordern. Der Anspruch erlischt, wenn er nicht binnen drei Jahren nach dem Uebergange des Eigenthums auf den Finder oder die Gemeinde gerichtlich geltend gemacht wird.
Wer eine Sache in den Geschäftsräumen oder den Beförderungsmitteln einer öffentlichen Behörde oder einer dem öffentlichen Verkehre dienenden Verkehrsanstalt findet und an sich nimmt, hat die Sache unverzüglich an die Behörde oder die Verkehrsanstalt oder an einen Angestellten derselben abzuliefern. Die Vorschriften der §§.880 bis 892 finden keine Anwendung.
Die Behörde oder die Verkehrsanstalt kann die an sie abgelieferte Sache öffentlich versteigern lassen. Die öffentlichen Behörden und die Verkehrsanstalten des Reiches, der Bundesstaaten und der Gemeinden können die Versteigerung durch einen ihrer Beamten vornehmen lassen.
Die Versteigerung ist erst zulässig, wenn der Fund öffentlich bekannt gemacht, die Empfangsberechtigten in der Bekanntmachung zur Anmeldung ihrer Rechte unter Bestimmung einer Frist aufgefordert worden sind und die Frist ohne eine Anmeldung verstrichen ist. Die Bekanntmachung ist nicht erforderlich, wenn der Verderb der Sache zu besorgen oder die Aufbewahrung mit unverhältnismäßigen Kosten verbunden ist. Der Erlös tritt an die Stelle der Sache.
Hat sich der Empfangsberechtigte nicht binnen drei Jahren nach dem Ablaufe der in der öffentlichen Bekanntmachung bestimmten Frist gemeldet, so fällt der Versteigerungserlös, wenn die Behörde oder die Verkehrsanstalt eine Reichsbehörde oder eine Reichsanstalt ist, an den Reichsfiskus, wenn sie eine Landesbehörde oder eine Landesanstalt ist, an den Fiskus des Bundesstaats, wenn sie eine Gemeindebehörde oder eine Gemeindeanstalt ist, an die Gemeinde, wenn die Verkehrsanstalt von einer Privatperson betrieben wird, an diese.
Ist die Versteigerung ohne die öffentliche Bekanntmachung erfolgt, so beginnt die dreijährige Frist erst, nachdem der Fund öffentlich bekannt gemacht und die Empfangsberechtigten in der Bekanntmachung zur Anmeldung ihrer Rechte aufgefordert worden sind. Das Gleiche gilt, wenn gefundenes Geld abgeliefert worden ist.
Die Kosten werden von dem herauszugebenden Betrag abgezogen.
Die in den §§.894, 895 vorgeschriebene Bekanntmachung erfolgt, wenn die Behörde oder die Verkehrsanstalt eine Reichsbehörde oder eine Reichsanstalt ist, nach den von dem Bundesrath erlassenen Vorschriften; in den übrigen Fällen sind die von der Zentralbehörde des Bundesstaats erlassenen Vorschriften maßgebend.
Ist eine öffentliche Behörde im Besitz einer Sache, zu deren Herausgabe sie verpflichtet ist, ohne daß die Verpflichtung auf Vertrag beruht, so finden, wenn der Behörde der Empfangsberechtigte oder dessen Aufenthalt unbekannt ist, die Vorschriften der §§.894 bis 896 entsprechende Anwendung.
ドイツ(プロイセン王国) 一般ラント法1部9章19~72条 資料全体表示
ドイツ(プロイセン王国) 1879年3月24日法律23条 資料全体表示
§.23. Die §§.23—48, 57—60, 76—80 Allgemeinen Sandrechts Theil I Titel 9 werden durch nachfolgende Bestimmungen abgeändert.
Das Aufgebot einer gefundenen Sache oder eines Schatzes erfolgt nur auf den Antrag eines Beteiligten. Die Ablieferung dieser Sachen au das Gericht findet nicht statt.
Der zulässige Verkauf einer gefundenen Sache wird aus Antrag des Finders ungeordnet; die Enscheidung kann ohne vorgängige mündliche Verhandlung erfolgen.
Ein Anschlag des Fundes erfolgt nicht. Die §§.49—56 Allgemeinen Landrechts Theil I Titel 9 werden aufgehoben.
Das Ausschlußurtheil ist dahin zu erlassen, daß dem unbekannten Verlierer oder Eigenthürner, welcher sich nicht gemeldet hat, nur der Anspruch aus Herausgabe des durch den Fund erlangten und zur Zeit der Erhebung des Anspruchs noch vorhandenen Vortheils vorbehalten, jedes weitere Recht desselben aber ausgeschlossen wird.
Die Rechte dritter Personen, außer dem Finder, den Fund für sich in Anspruch zu nehmen, bleiben nach Maßgabe der bisherigen Vorschriften in Verbindung mit den Vorschriften des vorigen Absatzes bestehen.
§ 239. Wer eine verlorene oder sonst abhanden gekommene Sache, von welcher ihm unbekannt ist, wer ihr Eigenthümer ist, oder wer sie verloren hat, und deren Werth den Betrag eines Thalers übersteigt, findet und an sich nimmt, erwirbt das Eigenthum daran, wenn er von Zeit des Fundes an innerhalb vier Wochen denselben der Polizeibehörde des Fundortes angezeigt, die zuständige Behörde den Fund einmal und bei einem Betrage über fünfzig Thaler zweimal in einem öffentlichen Blatte bekannt gemacht, und sich, von der Zeit der einmaligen oder letzten Bekanntmachung an, innerhalb Jahresfrist kein zur Abforderung des Gefundenen Berechtigter gemeldet hat.
§ 240. Uebersteigt der Werth des Gefundenen einen Thaler nicht, so erwirbt der Finder das Eigenthum nach Ablauf eines Jahres von der Zeit des Fundes an, ohne daß es einer Anzeige bei der Polizeibehörde oder einer öffentlichen Bekanntmachung bedarf.
§ 241. Als Finder wird auch Derjenige angesehen, welcher den verlorenen Gegenstand zu ergreifen im Begriffe war, selbst wenn ein Anderer ihn daran hinderte, um ihm den Gegenstand zu entziehen.
§ 242. Meldet sich ein zur Abforderung des Gefundenen Berechtigter vor Ablauf der im § 239 bestimmten Jahresfrist, so erhält er das Gefundene gegen Erstattung der nothwendigen und nützlichen Verwendungen, unter Abrechnung der von dem Finder etwa gezogenen Früchte, muß aber demselben den zehnten Theil des Werthes, welchen die Sache nach Abzug der Kosten hat, als Finderlohn geben. Beträgt der Werth über einhundert Thaler, so hat er vom Mehrbetrage nur eins vom Hundert zu entrichten. Hierbei werden mehrere gleichzeitig gefundene Sachen als eine angesehen. Haben die gefundenen Sachen nur für Denjenigen Werth, welcher sie verloren hat, so hat die Behörde ein Finderlohn nach billigem Ermessen festzusetzen.
§ 243. Der Finder, welcher den Fund, wenn der Gegenstand über einen Thaler beträgt, nicht innerhalb vier Wochen von der Zeit der Ansichnahme an bei der Polizeibehörde des Fundortes anzeigt, ingleichen der Finder, welcher den Fund, wenn der Gegenstand nicht über einen Thaler beträgt, auf geschehene Nachfrage verheimlicht, hat keinen Anspruch auf die in §§ 239, 240, 242 angegebenen Vortheile. An der Stelle des Finders erwirbt der Staat das Eigenthum des Gefundenen.
アメリカ(カリフォルニア) 民法1864~1871条 資料全体表示
(Obligation of finder.)
1864. One who finds a thing lost is not bound to take charge of it, but if he does so he is thenceforward a depositary for the owner, with the lights and obligations of a depositary for hire.
(Finder to notify owner.)
1865. If the finder of a thing knows or suspects who is the owner, he must, with reasonable diligence, give him notice of the finding; and if he fails to do so, he is liable in damages to the owner, and has no claim to any reward offered by him for the recovery of the thing, or to any compensation for his trouble or expenses.
(Claimant to prove ownership.)
1866. The finder of a thing may, in good faith, before giving it up, require reasonable proof of ownership from any person claiming it.
(Reward, etc., to finder.)
1867. The finder of a thing is entitled to compensation for all expenses necessarily incurred by him in its preservation, and for any other service necessarily performed by him about it, and to a reasonable reward for keeping it.
(Finder may put thing found on storage.)
1868. The finder of a thing may exonerate himself from liability at any time by placing it on storage with any responsible person of good character, at a reasonable expense.
(When finder may sell the thing found.)
1869. The finder of a thing may sell it, if it is a thing which is commonly the subject of sale, when the owner cannot, with reasonable diligence, be found, or, being found, refuses upon demand to pay the lawful charges of the finder, in the following cases:
1. When the thing is in danger of perishing, or of losing the greater part of its value; or,
2. When the lawful charges of the finder amount to two thirds of its value.
(How sale is to be made,)
1870. A sale under the provisions of the last section must be made in the same manner as the sale of a thing pledged.
(Surrender of thins to the finder.)
1871. The owner of a thing found may exonerate himself from the claims of the finder by surrendering it to him in satisfaction thereof.
アメリカ(ニューヨーク) 民法草案938~945条 資料全体表示
(Obligation of Under.)
§ 938. One who finds a thing lost, is not bound to take charge of it, but if he does so, he is thenceforward a depositary for the owner, with the rights and obligations of a depositary for hire.
(Finder to notify owner.)
§ 939. If the finder of a thing knows or suspects who is the owner, he must, with reasonable diligence, give him notice of the finding; and if he fails to do so, he is liable in damages to the owner, and has no claim to any reward offered by him for the recovery of the thing, or to any compensation for his trouble or expenses.
(Claimant to prove ownership.)
§ 940. The finder of a thing may, in good faith, before giving it up, require reasonable proof of ownership from any person claiming it.
(Reward, &c., to finder.)
§ 941. The finder of a thing is entitled to compensation for all expenses necessarily incurred by him in its preservation, and for any other service necessarily performed by him about it, and to a reasonable reward for keeping it.
(found on storage.)
§ 942. The finder of a thing may exonerate himself from liability at any time, by placing it on storage with any responsible person of good character, at a reasonable expense.
(When finder may sell the thine found.)
§ 943. The finder of a thing may sell it, if it is a thing which is commonly the subject of sale, when the owner cannot with reasonable diligence be found, or, being found, refuses upon demand to pay the lawful charges of the finder, in the following cases:
1. When the thing is in danger of perishing, or of losing the greater part of its value; or,
2. When the lawful charges of the finder amount to two-thirds of its value.
(How sale Is to be made.)
§ 944. A sale under the provisions of the last section must be made in the same manner as the sale of a thing pledged.
(Surrender of thins to the finder)
§ 945. The owner of a thing found may exonerate himself from the claims of the finder by surrendering it to him in satisfaction thereof.
法典調査会 第27回 議事速記録 *未校正9巻141丁裏 画像 資料全体表示
遺失物ノ取得者ハ特別法ノ規定ニ依リテ其所有権ヲ取得スルコトヲ得
遺失物ハ特別法ノ定ムル所ニ従ヒ公告ヲ為シタル後六个月内ニ其所有者ノ知レサルトキハ拾得者其所有権ヲ取得ス
法典調査会 民法整理会 第8回 議事速記録 *未校正民整3巻 画像 資料全体表示
遺失物ハ特別法ノ定ムル所ニ従ヒ公告ヲ為シタル後六个月内ニ其所有者ノ知レサルトキハ拾得者其所有権ヲ取得ス
狩猟、捕漁ノ権利ノ行使及ヒ漂流物、遺失物ノ取得ハ特別法ヲ以テ之ヲ規定ス
戦時ニ於ケル海陸ノ掠奪物ニ付テモ亦同シ
L'exercice des droits de chasse et de pêche et l'acquisition des épaves tant terrestres que pluviales ou maritimes et des choses perdues sont réglés par des lois spéciales.
Il en est de même des prises maritimes et du butin faits en temps de guerre.
遺失物ハ特別法ノ定ムル所ニ従ヒ公告ヲ為シタル後一年内ニ其所有者ノ知レサルトキハ拾得者其所有権ヲ取得ス
Code civil de l'Empire du Japon 資料全体表示
ART. 240. La propriété d'une chose perdue est acquise à celui qui l'a trouvée, lorsque le propriétaire de ladite chose demeure inconnu à l'expiration de l'année qui suit la publication opérée conformément à la loi sur les choses perdues.
狩猟、捕漁ノ権利ノ行使及ヒ漂流物、遺失物ノ取得ハ特別法ヲ以テ之ヲ規定ス
戦時ニ於ケル海陸ノ掠奪物ニ付テモ亦同シ
L'exercice des droits de chasse et de pêche et l'acquisition des épaves tant terrestres que pluviales ou maritimes et des choses perdues sont réglés par des lois spéciales.
Il en est de même des prises maritimes et du butin faits en temps de guerre.
32年3月28日法95号水難救護法24~30条 資料全体表示
32年7月29日遞信省35号水難救護法施行細則10~14条 資料全体表示
水難救護法第二十四条第一項ノ市町村長トハ拾得地ノ市町村長ヲ謂ヒ航海中ニ拾得シタル場合ニ在リテハ其後最初ニ到著シタル地ノ市町村長ヲ謂フ
水難救護法第二十五条第二項ニ定メタル公告ハ物件ノ品質及価格ニ準シ掲示又ハ新聞紙掲載其他市町村長ノ適当ト認ムル方法ニ依リ品名、数量、拾得ノ日時及場所ヲ明示スヘシ
水難救護法第二十七条第一項ノ規定ニ依リ所有者ニ於テ物件ノ引渡ヲ申請スルトキハ其物件ニ対スル自己ノ権利ヲ市町村長ニ疏明スヘシ
水難救護法第十一条第一項、第十七条第一項、第二十八条第三項及第三十条第二項ニ規定スル公売ハ入札ノ方法ヲ以テ行フヘシ
市町村長公売ヲ為サントスルトキハ予メ左ノ事項ヲ公告スヘシ
物件ノ種類、数量及品質
公売ノ場所及年月日時
公告ノ方法ニ付テハ第十一条ノ規定ニ依ル