822条(甲53)
前二条ノ規定ニ依リテ離婚ヲ為シタル者カ其協議ヲ以テ子ノ監護ヲ為スヘキ者ヲ定メサリシトキハ其監護ハ夫ニ属ス
夫カ離婚ニ因リテ婚家ヲ去リタル場合ニ於テハ子ノ監護ハ妻ニ属ス
前二項ノ規定ハ監護ノ範囲外ニ於テ父母ノ権利義務ニ変更ヲ生スルコトナシ
前二条ノ規定ニ依リテ離婚ヲ為シタル者カ其協議ヲ以テ子ノ監護ヲ為スヘキ者ヲ定メサリシトキハ其監護ハ夫ニ属ス
夫カ離婚ニ因リテ婚家ヲ去リタル場合ニ於テハ子ノ監護ハ妻ニ属ス
前二項ノ規定ハ監護ノ範囲外ニ於テ父母ノ権利義務ニ変更ヲ生スルコトナシ
離婚ノ後子ノ監護ハ夫ニ属ス但入夫及ヒ婿養子ニ付テハ婦ニ属ス
然レトモ裁判所ハ夫、婦、親族又ハ検事ノ請求ニ因リ子ノ利益ヲ慮リテ之ヲ他ノ一方又ハ第三者ノ監護ニ付スルコトヲ得
90. After the divorce, the charge of the children rests with the husband. If he is a niufu or muhoyoshi, it belongs to the wife.
Nevertheless, the Court can, by taking the interests of the children into consideration, commit, on demand of the husband, wife, relatives by consanguinity or Public Procurator, such children to the charge of the other party or a third person.
Ils seront pareillement tenus de constater par écrit leur convention sur les trois points qui suivent :
1°. A qui les enfans nés de leur union seront confiés, soit pendant le tems des épreuves, soit après le divorce prononcé ;
2°. Dans quelle maison la femme devra se retirer et résider pendant le tems des épreuves ;
3°. Quelle somme le mari devra payer à sa femme pendant le même tems, si elle n'a pas des revenus suffisans pour fournir à ses besoins.
Quelle que soit la personne à laquelle les enfans seront confiés, les père et mère conserveront respectivement le droit de surveiller l'entretien et l'éducation de leurs enfans, et seront tenus d'y contribuer à proportion de leurs facultés.
又左ノ三件ニ付テハ双方ノ契約スル所ヲ証書ニ記ス可シ
其婚姻ニ因テ生レシ子ハ訴訟ノ時間又ハ離婚ノ言渡ヲ受シ後何レノ方ニテ引受ク可キヤ
訴訟ノ時間婦ハ何レノ家屋ニ至リテ居住ス可キヤ
若シ婦其生計ヲ為スニ十分ナル入額ヲ有セサル時ハ訴訟ノ時間夫ヨリ其婦ニ幾許ノ金額ヲ給ス可キヤ
何レノ人ニ子ヲ托シタルヲ問ハス父母ハ各其子ノ教育ヲ管督スルノ権ヲ保チ且ツ其家産ニ准シテ其教育ノ資助ヲ為ス可シ
夫婦ハ亦左ノ三件ニ付テハ其合意ヲ書面ヲ以テ証明ス可シ
其婚姻ニ依リ生レシ子ハ嘗試ノ時間若クハ離婚ノ宣告ノ後之ヲ何人ニ委託ス可キヤノ事
嘗試ノ時間婦ハ何レノ家屋ニ至リテ居住セサル可カラサルヤノ事
若シ婦ノ其需用ニ供給スルニ足ル可キ入額ヲ有セサル時ハ右ト同一ノ時間夫ヨリ其婦ニ幾許ノ金額ヲ弁済セサル可カラサルヤノ事
其子ヲ委託シタル人ノ如何ヲ問ハス父母ハ相互ニ其子ノ保育教訓ヲ監視スルノ権利ヲ保存シ且ツ其資産ニ准シテ之ヲ分担ス可シ
夫婦ハ亦書面ヲ以テ左ノ三件ニ付キ約束ヲ証明ス可シ
婚姻ニ因テ生レタル子ヲ紛議中又ハ離婚ノ言渡後何人ニ委託ス可キヤノ事
訴訟中婦ハ何レノ家ニ到リ住居ス可キヤノ事
婦自己ノ生計ニ充分ナル入額ヲ有セサル時ハ訴訟中夫ヨリ幾何ノ金額ヲ給ス可キヤノ事
子ヲ託セラレタル者ノ何人ナルヲ問ハス父母ハ互ニ其子ノ給養教育ヲ監督スルノ権ヲ保有シ且ツ其資力ニ応シテ其補助ヲ為ス可シ
Les pères et mères conserveront les droits attachés à la puissance paternelle et à la tutelle. Le reste comme 303, C. N.
父母ハ親ノ権及ヒ後見ニ属スル権利ヲ保ツ可シ○他ハ仏民法第三百三条ニ同シ
Quelle que soit la personne à laquelle les enfants seront confiés, le père et la mère conservent le droit de veiller à leur éducation.
其子ヲ委託セラレタル人ノ何人ニ係ルヲ問ハス其父母ハ其教育ヲ監視スルノ権理ヲ保有ス
Lorsque les enfants ont été confiés aux soins et à la garde de l'un des époux, l'autre ne sera pas pour cela déchargé des devoirs, ni privé des droits paternels, mais seulement tenu de ne point s'opposer à l'accomplissement de la mission spécialement confiée à l'autre époux.
Lorsque le divorce aura été prononcé dans les cas prévus par les §§ a, b, c, d, de l'article 46 de la loi fédérale du 24 décembre 1874.
1° L'époux contre lequel le divorce aura été admis, perdra tous les avantages que l'autre époux lui avait faits;
2° L'époux qui aura obtenu le divorce recevra une indemnité représentative des avantages à lui faits par l'autre époux, encore qu'ils aient été stipulés réciproques et que la réciprocité n'ait pas lieu;
3° Si les époux ne s'étaient fait aucun avantage, ou si ceux stipulés ne paraissaient pas suffisants pour assurer la subsistance de l'époux qui a obtenu le divorce, le Tribunal pourra lui accorder, sur les biens de l'autre époux, une pension alimentaire, qui ne pourra excéder le tiers des revenus de cet autre époux. Cette pension sera révocable dans le cas où elle cesserait d'être nécessaire;
4° Les enfants seront confiés à l'époux qui a obtenu le divorce, à moins que le Tribunal, sur la demande de la famille, ou d'office, n'ordonne, pour le plus grand avantage des enfants, que tous ou quelques-uns d'eux seront confiés aux soins, soit de l'autre époux, soit d'une tierce personne;
5° Le Tribunal prononcera aussi sur la dépense d'entretien et d'éducation des enfants. Cette charge sera mise sur l'époux coupable, si sa fortune lui permet de la supporter. Dans le cas contraire, elle sera répartie entre les deux époux, ou imposée à l'un d'eux, suivant leur fortune respective.
Lorsqu'il y a des enfants issus du mariage dissous par le divorce, ils restent, en principe, confiés aux soins de la mère jusqu'à l'âge où commence pour eux l'obligation scolaire.
Le tribunal décide, sur la demande des parties, si le père a, pendant cette période, à concourir aux frais de leur entretien, et dans quelle mesure.
Passé l'âge où commence l'obligation scolaire, les enfants sont remis, en principe, au père en vue de leur éducation.
Lorsque la mère possède une fortune suffisante et que le père est dans la gêne, la mère peut être tenue, sur la demande du père, de contribuer d'une manière équitable aux frais d'éducation.
Par exception, et dans le but d'assurer aux enfants de bons soins et une bonne éducation, le tribunal peut, soit d'office, soit sur la demande des père et mère, attribuer les enfants dès avant l'âge où commence pour eux l'obligation scolaire au père, ou au delà de cet âge à la mère.
Sur la demande des parties, le tribunal peut insérer dans le jugement de divorce des dispositions à l'effet de décider si celui des père et mère qui n'a pas la garde des enfants pourra les voir et leur parler, et de fixer la fréquence et le lieu de ces entrevues. Au reste, il appartient au président du tribunal de district de statuer comme il le jugera convenable dans chaque cas spécial.
Si, à l'occasion d'un procès en divorce, il apparaît que l'éducation des enfants ne peut raisonnablement être confiée au père, le tribunal est tenu d'en informer la Direction des orphelins afin qu'elle prenne les mesures tutélaires nécessaires.
L'époux qui a la garde des enfants exercera l'autorité paternelle. Si les enfants sont confiés à un tiers, celui-ci pourra porter les plaintes qu'il aurait à faire sur leur conduite à un conseil de famille, lequel permettra, s'il y a lieu, de provoquer des mesures disciplinaires prévues au titre De la puissance paternelle, après avoir entendu ou appelé les père et mère.
Quelle que soit la personne à laquelle les enfants seront confiés, les père et mère conserveront respectivement le droit de surveiller l'entretien et l'éducation de leurs enfants, et ils seront tenus d'y contribuer en proportion de leurs facultés.
Le droit de succession des enfants sur les biens de leurs père et mère et des parents sur les biens de leurs enfants s'exercera d'après le droit commun.
Les enfants nés du mariage conserveront les avantages que les conventions matrimoniales leur assurent.
ドイツ(帝国法) 民法第1草案1456~1458条 資料全体表示
Die Sorge für die Person der gemeinschaftlichen Kinder stebt nach der Auflösung der Ehe durch Scheidung, solange beide Ehe gatten leben, wenn nur ein Ehegatte für den schuldigen Theil erklärt ist, dem anderen Ehegatten, wenn beide Ehegatten für den schuldigen Theil erklärt sind, in Ansehung der Töchter der Mutter, in Ansehung der Söhne bis zum zurückgelegten sechsten Lebensjahre der Mutter, für die späteren Lebensjahre dem Vater zu. Das Vormundschaftsgericht kann jedoch die Sorge für die Person eines Kindes an den nach den vorstehenden Bestimmungen zu dieser Sorge nicht berufenen Elterntheil übertragen, wenn dies durch besondere Umstände im Interesse des Kindes geboten erscheint die Anordnungen des Vormundschaftsgerichtes können zu jeder Zeit, so fern es im Fntereffe des Kindes nöthig wird oder die Umstände, welche die Anordnung veranlaßt haben, weggefallen sind, aufgehoben oder geändert werden.
Die Sorge für die Person des Kindes schließt in den Fällen des ersten Absatzes, unbeschadet der aus der elterlichen Gewalt sich ergebenden Rechte, die gesetzliche Vertretung des Kindes nicht ein.
Der Elterntheil, welcher in Gemäßheit des §.1456 von der Sorge für die Person eines Kindes ausgeschlossen ist, behält die Befugniß, mit dem Kinde persönlich zu verkehren. Die näheren Anordnungen über diesen persönlichen Verkehr sind erforderlichenfalls von dem Dorniundschaftsgerichte zu treffen.
§.den Kosten des einem gemeinschaftlichen Kinde der geschiedenen Ehegatten von dem Ehemanne zu gewährenden Unterhaltes ist die Ehefrau, wenn dem Ehemanne die elterliche Nutznießung an dem Vermögen des Kindes nicht zusteht, aus den Einkünften ihres Vermögens und aus dem Ertrage eines von ihr betriebenen Erwerbsgeschäftes einen angemessenen Beitrag dem Ehe manne zu leisten verpflichtet.
Der dem Ehemanne zustehende Anspruch kann nicht über tragen werden und eine Aufrechnung gegen ihn ist nicht statthaft.
- Après la dissolution du mariage par le divorce, la garde des enfants communs appartient, pendant la vie des deux époux, si l'un seul d'eux a été déclaré partie coupable, à l'autre époux; si les deux époux ont été déclarés parties coupables, celle des filles a la mère, celle des fils, jusqu'à six ans révolus, a la mère, plus tard au père. Le tribunal tutélaire peut cependant transmettre la garde de la personne de l'enfant aux parents qui n'y sont pas appelés par les dispositions précédentes, lorsque cela paraît exigé par les circonstances particulières dans l'intérêt de l'enfant ; les ordonnances du tribunal tutélaire peuvent, en tous cas, lorsque cela est nécessaire dans l'intérêt de l'enfant, ou lorsque les circonstances qui y avaient donné lieu disparaissent, être rapportées ou modifiées.
La garde de la personne de l'enfant n'implique pas, dans les cas de l'alinéa qui précède, sa représentation légale, sans préjudice des droits qui résultent de la puissance paternelle.
- Les parents qui, en conformité du §1456, sont exclus de la garde de la personne de l'enfant, conservent le droit de rester en communication avec lui. Des réglements plus détaillés sur ce droit de visite sont faits s'il est nécessaire, par le tribunal tutélaire.
- La femme, lorsque l'usufruit paternel n'appartient pas au père sur les biens de l'enfant, doit, au moyen des revenus de ses biens et du produit d'un commerce exercé par elle, verser entre les mains de son mari une contribution proportionnelle pour les frais de l'entretien par le mari d'un enfant commun des époux divorcés.
Le droit appartenant ainsi au mari ne peut être cédé, et on ne peut lui opposer la compensation.
ドイツ(帝国法) 民法第2草案1479~1481条 資料全体表示
Solange die geschiedenen Ehegatten leben, steht die Sorge für die Person der gemeinschaftlichen Kinder, wenn nur einer der Ehegatten für schuldig erklärt ist, dem anderen Ehegatten zu.
Sind beide Ehegatten für schuldig erklärt, so steht die Sorge für die Söhne unter sechs Jahren und für die Töchter der Mutter, für die Söhne über sechs Jahre dem Vater zu. Das Vormundschaftsgericht kann eine abweichende Anordnung treffen, wenn eine solche aus besonderen Gründen im Interesse der Kinder geboten ist; die Anordnung kann aufgehoben werden, wenn das Interesse der Kinder die Aufrechterhaltung nicht mehr erfordert.
Die Sorge für die Person im Sinne des Abs.1 umfaßt nicht die Vertretung der Kinder.
Im Uebrigen werden die sich aus der elterlichen Gewalt ergebenden Rechte und Pflichten durch die Scheidung nicht berührt.
Der Ehegatte, welchem nach §.1479 die Sorge für die Person eines Kindes nicht zusteht, behält die Befugnis, mit dem Kinde persönlich zu verkehren. Das Vormundschaftsgericht kann den Verkehr näher regeln.
Die Frau hat aus den Einkünften ihres Vermögens sowie aus dem Ertrag ihrer Arbeit oder eines von ihr selbständig betriebenen Erwerbsgeschäfts dem Manne einen angemessenen Beitrag zur Bestreitung des von ihm einem gemeinschaftlichen Kinde zu gewährenden Unterhalts zu leisten, soweit nicht die Kosten des Unterhalts durch die ihm am Vermögen des Kindes zustehende Nutznießung gedeckt werden. Der Anspruch des Mannes ist nicht übertragbar.
Steht der Frau die Sorge für die Person des Kindes zu und ist eine erhebliche Gefährdung des Unterhalts des Kindes für die Zukunft zu besorgen, so kann die Frau den Beitrag zur eigenen Verwendung insoweit zurückbehalten, als zur Bestreitung des Unterhalts erforderlich ist.
法典調査会 第149回 議事速記録 *未校正49巻73丁表 画像 資料全体表示
法典調査会 第151回 議事速記録 *未校正49巻142丁裏 画像 資料全体表示
協議上ノ離婚ヲ為シタル者カ其協議ヲ以テ子ノ監護ヲ為スヘキ者ヲ定メサリシトキハ其監護ハ父ニ属ス
父カ離婚ニ因リテ婚家ヲ去リタル場合ニ於テハ子ノ監護ハ母ニ属ス
前二項ノ規定ハ監護ノ範囲外ニ於テ父母ノ権利義務ニ変更ヲ生スルコトナシ
協議上ノ離婚ヲ為シタル者カ其協議ヲ以テ子ノ監護ヲ為スヘキ者ヲ定メサリシトキハ其監護ハ父ニ属ス
父カ離婚ニ因リテ婚家ヲ去リタル場合ニ於テハ子ノ監護ハ母ニ属ス
前二項ノ規定ハ監護ノ範囲外ニ於テ父母ノ権利義務ニ変更ヲ生スルコトナシ
離婚ハ左ノ原因アルニ非サレハ之ヲ請求スルコトヲ得ス
奸通但夫ノ奸通ハ刑ニ処セラレタル場合ニ限ル
同居ニ堪ヘサル暴虐、脅迫及ヒ重大ノ侮辱
重罪ニ因レル処刑
窃盗、詐欺取財又ハ猥褻ノ罪ニ因レル重禁錮一年以上ノ処刑
悪意ノ遺棄
失踪ノ宣言
婦又ハ入夫ヨリ其家ノ尊属親ニ対シ又ハ尊属親ヨリ婦又ハ入夫ニ対スル暴虐、脅迫及ヒ重大ノ侮辱
離婚ヲ請求スル訴権ハ夫婦ノミニ属ス
81. The divorce cannot be demanded unless it be for the following causes :—
i. Adultery ; the husband's adultery is, however, limited to the case where he has been punished therefor ;
ii. Outrages, threats and grave insults which render co-habitation insupportable ;
iii. Punishment for crimes ;
iv. Punishment of major imprisonment for one year or more for the offence of theft, swindling, or indecency ;
v. Malicious desertion ;
vi. Declaration of absence ;
vii. Outrages, threats and grave insults made by the wife or niufu towards the ascendants in the house or by the ascendants towards the wife or niufu.
87. The right of action demanding a divorce belongs only to the husband and wife.
協議上ノ離婚ヲ為シタル者カ其協議ヲ以テ子ノ監護ヲ為スヘキ者ヲ定メサリシトキハ其監護ハ父ニ属ス
父カ離婚ニ因リテ婚家ヲ去リタル場合ニ於テハ子ノ監護ハ母ニ属ス
前二項ノ規定ハ監護ノ範囲外ニ於テ父母ノ権利義務ニ変更ヲ生スルコトナシ
Code civil de l'Empire du Japon 資料全体表示
812. Losque les époux qui divorcent par consentement mutuel n'ont pas stipulé qui aura soin des enfants, ce soin incombera au père.
Il incombera à la mère si le père quitte la famille dans laquelle il était entré par le mariage.
Ces dispositions n'affectent pas les droits et devoirs des parents envisagés indépendamment du soin des enfants.
離婚ノ後子ノ監護ハ夫ニ属ス但入夫及ヒ婿養子ニ付テハ婦ニ属ス
然レトモ裁判所ハ夫、婦、親族又ハ検事ノ請求ニ因リ子ノ利益ヲ慮リテ之ヲ他ノ一方又ハ第三者ノ監護ニ付スルコトヲ得
90. After the divorce, the charge of the children rests with the husband. If he is a niufu or muhoyoshi, it belongs to the wife.
Nevertheless, the Court can, by taking the interests of the children into consideration, commit, on demand of the husband, wife, relatives by consanguinity or Public Procurator, such children to the charge of the other party or a third person.